mage statique Oeuvre de Paul-Émile Borduas (Les coquilles, 1950). Collection Musée d'art de Joliette (MAJ), "revisitée" et actualisée avec humour. Création s’inspirant des toutes premières oeuvres de la collection du MAJ qui sont apparus lors de ma consultation du site et que j’ai téléchargé pour entamer l’activité de bricolage proposé. (J’ai remarqué par la suite que la présentation de la collection plutôt hétéroclite, se faisait aléatoirement). Il est rare que j’aie de l’intérêt pour les portraits et les paysages réalistes et historiques, mais dans le contexte de cette invitation, et à mon grand étonnement, j’ai trouvé très amusant d’ajouter un petit quelque chose à ces oeuvres soit par le biais de mouvements ou d’objets. Est-ce que l’ajout apporte quelque chose de plus significatif ou non à l’oeuvre d’origine? Est-ce que cela permet mieux d’observer l’oeuvre d’origine ou non? Est-ce que cela apporte un nouvel éclairage sur l’état d’esprit? Ou au contraire, est-ce que cela corrompt ou éteint l’imaginaire? Je ne sais pas... De mon côté, j’ai constaté que ces oeuvres représentatives laissent beaucoup plus de place à l’imaginaire et offrent beaucoup plus de matière à « jouer » avec (pour composer) que les oeuvres abstraites et/ou contemporaines, plus souvent dénudées d’objets et/ou de sens à même l’image souvent privée de son explication. (Sens : extérieur à l’image). De quoi réfléchir pour moi qui adore le contemporain.