Acrylique sur toile Picasso a peint plusieurs natures mortes au crâne entre 1943 et 1947. Une réponse probable à la guerre car son œuvre témoigne de son époque. Inspirée de ces peintures de Picasso, j’ai voulu représenter des menaces actuelles. Un faucon guerrier capture le globe dans ses serres et nous reproche le DDT. Un poisson décharné témoigne de l’océan surchauffé et toxique. Un crâne de loup bloque l’accès au livre ouvert, source de connaissance, et suggère que l’homme est un loup pour l’homme.