À l'hiver 2019, l'exposition de James Wilson Morrice (qui nous arrivait en provenance du Musée des beaux-arts du Canada) et l'exposition collective De tabac et de foin d'odeur. Là où sont nos rêves (produite en collaboration avec le Collectif de commissaires autochtones et commissariée par Guy Sioui Durand) ne s’intéressaient pas tant à la création d’une identité nationale qu’à une réflexion sur les discordances et la pluralité en tant qu’influences positives et riches au sein de l’art canadien.
Pour cette cinquième semaine de Musée en quarantaine, nous vous invitions à ouvrir votre créativité en réfléchissant à la notion d'identité nationale. Nous vous avions demandé : selon vous, une telle identité existe-t-elle et, si oui, quelles en sont ses caractéristiques observables ?