Cette oeuvre évoque l'être humain abasourdi par le dataïsme, la religion des datas de notre ère numérique, avec ses alarmes et ses notifications de toutes sortes. Elle a été peinte par-dessus l'image suivante, soit la deuxième partie de l'oeuvre, sur un papier Mylar translucide posé sur une boite lumineuse. On voit cette première image sans allumer la boîte.