En abstraction, je ne décris pas le réel, je l'organise selon ma vision, ma sensibilité. Ma peinture développe un langage autonome qui ne pourrait se traduire autrement... dans l'immédiateté du geste, pour décrire l'émotion fébrile, l'instant même, le passé antérieur...
Comme une interrogation sur des questions sans réponses...